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Important: A préciser si l’ascencion du Wayna Picchu ou de la Montaña est à inclure. Le nombre de places étant limité, les résas sont à anticiper.
Jour 6 Arequipa: Entourée de ses trois volcans et construite en pierre volcanique claire, la « ville blanche » d’Arequipa possède une architecture coloniale unique, qui lui vaut d’être classée patrimoine mondial par l’Unesco. Le matin, visite du pittoresque quartier de Yanahuara. Un petit tour au marché San Camilo et visite du monastère Santa Catalina, l’un des plus beaux et des plus impressionnants monastères coloniaux d’Amérique du sud. Le déjeuner se fera dans une « picanteria », restaurant typique d’Arequipa. Après midi libre pour déambuler dans le centre colonial, rendre visite à Juanita, la momie retrouvée sur le mont Ampato, les cloîtres de la Compagnie… Dîner libre.
Jour 1 Lima:Accueil à l’aéroport de Lima. Transfert et nuit à l’hôtel. Dîner libre.
Jour 13 Cuzco – Lima: Vol à destination de Lima.
Accueil à votre arrivée à l’aéroport de Lima et transfert à l’hôtel. Nuit à l’hôtel. Si vous avez une extension Amazonie: transfert à Puerto Maldonado.
Jour 14 Lima: Visite de la capitale péruvienne. Découverte des quartiers coloniaux du centre-ville en passant par la Plaza San Martin et la Plaza Armas et visite du Couvent San Francisco et de ses catacombes.
Après midi libre pour découvrir le «nouveau Lima». Vous pouvez vous rendre dans les différents marchés d’artisanat de la Calle Petit Thouars ou encore prendre l’air du côté du Parque de Amor, une balade en bord de mer sur la côte Pacifique. Nuit à l’hôtel.
Jour 15 : Lima et départ: Trois heures avant le décollage, transfert à l’aéroport Jorge Chavez de Lima.
Jour 1 Lima:Accueil à l’aéroport de Lima. Transfert et nuit à l’hôtel.
Jour 10 Cuzco – Lima:Le matin, transfert à l’aéroport pour prendre un vol pour Lima dans la matinée.
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Si vous avez une extension Amazonie, départ pour Puerto Maldonado en fin de matinée.
Après le passage d’un col à 4900 mètres, vous descendez dans la vallée du Colca où vous déjeunez dans le village de Chivay (3 500m). Possibilité de bains aux thermes de la Calera (non inclus) Transfert à l’hôtel.
Jour 3 Arequipa : Journée consacrée à la découverte de la ville blanche:
Visite guidée de la place d’armes, de la cathédrale, de l’église et du couvent de la Compaña.
Vous visitez ensuite le couvent de Santa Catalina, véritable ville au cœur de la ville, avec ses ruelles bordées de maisonnettes colorées d’ocre, de bleu, de blanc, ses places et ses fontaines, un décor qui rappelle la lointaine Andalousie
A suivre, la visite du pittoresque quartier de Yanahuara et son magnifique point de vue sur la vallée d’Arequipa et les volcans environnants. Vous visitez le monastère Santa Catalina, l’un des plus beaux monastères coloniaux d’Amérique du sud et il vous reste du temps pour déambuler dans le centre colonial, le marché central, les cloîtres de la Compagnie avant de retourner à l’hôtel.
Jour 5 Arequipa : Entourée de ses trois volcans et construite en pierre volcanique claire, la « ville blanche » d’Arequipa possède une architecture coloniale unique, qui lui vaut d’être classée patrimoine mondial par l’Unesco. Le matin, visite du pittoresque quartier de Yanahuara. Un petit tour au marché San Camilo et visite du monastère Santa Catalina, l’un des plus beaux et des plus impressionnants monastères coloniaux d’Amérique du sud. Le déjeuner se fera dans une « picanteria », restaurant typique d’Arequipa. Après midi libre pour déambuler dans le centre colonial, rendre visite à Juanita, la momie retrouvée sur le mont Ampato, les cloîtres de la Compagnie… Dîner libre.
Il existe aussi des pisco que l’on peut qualifier de fantaisie, comme :
Soit environ 60 espèces d’oiseaux. On y dénombre environ 4 000 otaries à crinière, et on rencontre dans leurs eaux plus de 180 espèces de poissons et 10 variétés de dauphins.
Durant des siècles, cette zone insulaire va accumuler tout naturellement de grandes quantités de guano. Au XIXe siècle, l’économie du Pérou en tirera profit, en l’exportant le guano comme engrais vers l’Europe et l’Amérique du nord. Depuis le milieu du XXe siècle, l’extraction y est réglementée. On estime, actuellement, la production à plus ou moins 1000 tonnes de guano annuels prélevés par période de 7 ans. En dehors de cette période, un gardien contrôle la réserve.
La réserve nationale de Paracas est une zone protégée depuis 1975 d’une surface de 335,000 hectares, 1/3 sur la terre ferme et 2/3 en mer.
Sa création a eu pour but de protéger les diverses espèces de flore et de faune qui vivent en milieu aquatique ainsi que dans le désert.
Les milieux côtiers de la réserve sont propices à la conservation et à la reproduction des nombreuses espèces d’oiseaux sédentaires et migratoires.
Parmi les espèces les plus communes se trouvent entre autres les pélicans bruns, le goéland gris, la sterne inca, le bec en ciseaux noir, le pluvier argenté, le cormoran de Gaimard, le cormoran de Bougainville, le condor des Andes, le manchot de Humboldt, le flamant du Chili.
Les principaux mammifères sont l’otarie à crinière ou le lion marin, l’otarie à fourrure australe, le dauphin commun à bec court et la loutre marine.
La zone maritime comprend des variétés de requin, la bonite du Pacifique oriental, la raie, la sardine et l’anchois du Pérou.
La réserve est aussi peuplée de tortues luth et de tortues vertes, des lézards et des geckos, de pieuvres, de calmars, de palourdes, de crustacés comme le crabe fantôme.
Dans cette zone de l’océan Pacifique, la flore marine est riche en phytoplanctons et en algues. Selon les recherches effectuées, plus de 250 espèces d’algues ont été comptabilisées.
La flore terrestre compte peu d’espèces étant donné l’extrême aridité du désert. Cependant, il existe certains secteurs du désert qui reçoivent un apport constant en brume côtière et où se développent de petits groupements de lichens, de tillandsias, de morelles et d’oxalis.
Visite incontournable, « clou » d’un voyage au Pérou, le Machu Picchu est réellement un site extraordinaire. Ce qui le rend si particulier, c’est sans doute l’addition (ou la multiplication?) de la beauté du site archéologique et celle du site naturel, mais aussi les paysages traversés pour y accéder, que ce soit en train ou à pied.
À 2 430 m d’altitude, dans un site montagneux d’une extraordinaire beauté, au milieu d’une forêt tropicale, le Machu Picchu a probablement été la création urbaine la plus stupéfiante de l’Empire inca à son apogée : murailles, terrasses et rampes gigantesques sculptent les escarpements rocheux dont elles paraissent le prolongement. Le cadre naturel, sur le versant oriental des Andes, fait partie du bassin supérieur de l’Amazone, riche d’une flore et d’une faune très variées.
Enchâssé dans un paysage spectaculaire, au point de rencontre entre les Andes péruviennes et le bassin de l’Amazone, le Sanctuaire historique de Machu Picchu est l’une des plus grandes réalisations artistiques, architecturales et d’aménagement du territoire au monde et le plus important patrimoine matériel laissé par la civilisation inca. Reconnu par l’UNESCO pour ses valeurs culturelles et naturelles exceptionnelles, ce bien mixte du patrimoine mondial couvre 32 592 hectares de pentes montagneuses, de pics et de vallées qui entourent son cœur, le monument archéologique spectaculaire de La Ciudadela (la Citadelle). Édifié au XVe siècle, le Machu Picchu a été abandonné lors de la conquête de l’empire inca par les Espagnols au XVIe siècle. Ce n’est qu’en 1911 que cet ensemble archéologique a été révélé au monde.
Les quelque 200 constructions qui constituent ce centre religieux, cérémoniel, astronomique et agricole exceptionnel sont édifiées sur une crête escarpée, sillonnée de terrasses en pierre. Un plan rigoureux divise la cité en deux parties, la haute et la basse ville, séparant par une large place les zones agricoles des zones résidentielles. À ce jour, nombre de mystères du Machu Picchu ne sont toujours pas résolus, comme son rôle exact dans la connaissance approfondie qu’avaient les Incas de l’astronomie et de l’acclimatation d’espèces végétales sauvages.
L’architecture massive mais cependant raffinée de Machu Picchu s’harmonise exceptionnellement bien avec l’environnement naturel spectaculaire auquel il est intimement lié. De nombreux centres secondaires, un important réseau de routes et de sentiers, des canaux d’irrigation et des terrasses agricoles témoignent d’une longue utilisation humaine qui perdure souvent. La topographie accidentée qui rend certaines zones difficiles d’accès a donné lieu à une mosaïque de lieux utilisés et d’habitats naturels divers. Les versants orientaux des Andes tropicales en descendant jusqu’aux forêts tropicales de plaine sont connus pour abriter une riche biodiversité d’importance mondiale. Malgré sa petite taille, le bien contribue à conserver une très grande diversité d’habitats et d’espèces, avec une faune et une flore endémiques et des reliques remarquables.
Si vous voulez voir un authentique village inca encore habité, rendez-vous à Ollantaytambo. Ses ruelles pavées et ses murs de pierres massifs vous donneront un aperçu de ce à quoi pouvait ressembler une ville inca.
Surplombant la ville, elles sont chargées d’histoire, puisqu’elles virent se dérouler l’une des dernières batailles inca, là où Manco Inca lutta contre les conquistadores.
La construction du site n’a jamais été achevée, et il est possible de voir d’énormes blocs de pierre, en cours d’acheminement avant l’arrivée des espagnols. Pour les trouver, marchez jusqu’à la carrière inca, depuis Ollantaytambo en traversant le fleuve. La promenade dure environ 6Km. Si vous êtes fatigués, imaginez-vous qu’il y a 500 ans, les incas effectuaient la même «promenade» en tirant des blocs de pierre de plusieurs tonnes !
Le site a été construit à l’époque inca, comme une enceinte fortifiée, comprenant un temple, des terrasses et une zone urbaine.
Il comporte deux secteurs distincts, l’un d’eux s’appelle Araqama Ayllu, c’est le lieu réservé au culte et à la religion.
Le deuxième, Qosqo Ayllu, est consacré aux habitations. C’était un important centre administratif qui remplissait aussi probablement une fonction militaire, comme en témoignent ses murs et ses tours. On y trouve aussi des traces d’anciens chemins et aqueducs.
La ville d’Ollantaytambo est appelée Pueblo Inca Vivo (Village inca vivant), car ses habitants perpétuent des coutumes très anciennes.
Vous pourrez visiter le village de Willoc, dont les habitants, de langue quechua portent des vêtements rouges, en signe d’appartenance à un ayllu unique et différent du reste de la région.
Moray : Le site est composé de 3 amphithéâtres légèrement elliptiques que les habitants appellent «muyus». Le plus grand a une profondeur de 45 mètres et la hauteur moyenne entre chaque terrasse est de 1,80 mètre. Cet endroit était un important centre d’expérimentation agricole, les Incas avaient réussi à reproduire une vingtaine de microclimats. On pense que Moray a notamment servi à prévoir les rendements agricoles dans l’Empire inca et que des tentatives d’acclimatation de » plantes «exotiques» y étaient expérimentées
Maras
La vallée de l’Urubamba, aussi appelée vallée sacrée (Valle Sagrado) s’étend sur une cinquantaine de kilomètres. Elle regorge de ruines incas, de petits villages traditionnels, de marchés pittoresques, de pic rocheux et de torrents sauvages.
C’est en quelque sorte un «concentré de Pérou», un vestige du temps où les incas dominaient l’Amérique du Sud…
C’est aussi un centre d’activités en plein air. (Voir « Sports d’aventure »)
Chinchero est réputé pour ses textiles, dont on trouve de beaux exemples lors de la foire artisanale du dimanche. Mais Chinchero est aussi un site au riche passé. Le village remonte à l’époque Inca, comme en témoignent les fameuses terrasses agricoles encore utilisées aujourd’hui. On y trouve un grand mur construit en blocs massifs et orné de douze niches, chacune de 2 m de haut et 1,50 m de large. On dit que le mur et les terrasses auraient été construits sous l’Inca Tupac Yupanqui, qui aurait fait de Chinchero son lieu de repos à la campagne.
Sur la place principale, un énorme mur inca fait face à une jolie église coloniale, et à un petit musée archéologique.
L’église fut construite au 17e siècle sur les ruines d’un palais inca. Elle a l’air plutôt sobre de l’extérieur, mais l’intérieur est très joli. Les murs et le plafond sont couverts de motifs floraux et religieux. Elle n’est ouverte que le dimanche, pour la messe.
Ce village tranquille et traditionnel peut être un point de départ intéressant pour une petite randonnée sympathique, loin des chemins touristiques.
La Vallée Sacrée des Incas offre à tous les visiteurs, amateurs d’adrénaline, l’opportunité de pratiquer des sports d’aventure tout en profitant de ses paysages incroyables.
Le lieu idéal pour une aventure en parapente est le Mirador Racchi (situé à 37 km au nord de la ville, une des montagnes les plus accessibles ayant une vue époustouflante sur toute la vallée.
La campagne apaisante, avec leurs sentiers naturels et les anciens chemins incas, comptent un grand nombre de circuits excellents pour le trekking. Les routes de randonnées les plus visitées de Cusco sont : Le Chemin de Apu Ausangate, Choquequirao, Salkantay, Lares, Quebrada de los loros et le Chemin Inca.
Les eaux tumultueuses du fleuve Urubamba invitent à la pratique du rafting/kayak, en particulier entre décembre et avril. Le fleuve traverse les panoramas les plus spectaculaires des environs.
Mais vous pouvez profiter des frissons d’une via ferrata, de tyroliennes, de circuits en VTT ou de balades bucoliques à cheval.
Pisac, point de départ pour la visite de la Vallée Sacrée, a 2 sites importants :
Intihuatana comprend plusieurs thermes et temples, dont le Temple du Soleil
Q’Allaqasa, qui est construit sur un éperon rocheux dominant la vallée, est aussi appelé la citadelle.
Le versant de la colline est strié de terrasses agricoles construites par les Incas et toujours utilisées. On se rend compte ici, avec émerveillement, comment les incas ont réussi à mettre en culture les pentes abruptes des montagnes.
Avec ses constructions militaires, religieuses et agricoles, le site avait une triple fonction. On pense que Pisac défendait l’entrée sud de la Vallée Sacrée, tandis que Choquequirao défendait l’ouest et la forteresse d’Ollantaytambo, le nord.
On peut voir des falaises percées d’excavations. Ces dernières étaient des tombes de villageois incas qui ont été pillées avant l’arrivée des archéologues
Au Pérou, l’église Saint-Pierre-Apôtre d’Andahuaylillas est surnommée «la Chapelle Sixtine des Andes», et dans un sens la comparaison est pertinente : cette église est l’un des exemples les plus beaux et les plus surprenants de l’art religieux populaire andin.
Andahuaylillas est un petit village situé à moins de 45 km de Cuzco. D’après les vestiges que l’on y trouve, le village se situe sur un site inca d’une certaine importance. En raison de ses terres fertiles, à proximité de la rivière Vilcanota, des résidents de condition aisée s’y sont installés dans les premiers temps de la colonie, comme le suggère l’existence des grandes maisons seigneuriales (casonas) que l’on peut toujours y observer.
En arrivant sur la place du village, on peut admirer l’extérieur de l’église à l’ombre d’immenses arbres (pisonay) plusieurs fois centenaires. Bâtie sur une plateforme à laquelle on accède en grimpant quelques marches, l’église possède une chapelle ouverte en forme de balcon et un clocher de forme quadrangulaire. Elle fut probablement construite sur l’emplacement d’un édifice préhispanique – peut-être une huaca – car à l’intérieur, il y a des restes de murs incas.
Cette image sobre de l’extérieur tranche radicalement avec la richesse de la décoration intérieure. Une explosion d’or, de sculptures et de peintures s’offre aux yeux des visiteurs à peine passées les portes de l’église. Le but de ces représentations religieuses était à la fois d’enseigner le message biblique aux populations indigènes mais aussi de susciter leur adhésion par l’émerveillement.
L’une des curiosités les plus notables de cette église est son baptistère. Sur l’arche qui y mène, on peut observer l’inscription «Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.» en latin, en espagnol, en quechua, en aymara et en puquina, témoignage du fait que cette dernière langue aujourd’hui éteinte était autrefois parlée dans la région.
L’Eglise Saint-Pierre-Apôtre d’Andahuaylillas est l’une des étapes de la route du baroque andin avec, entre autres, l’église de la compagnie de Jésus de Cuzco, l’église Saint-Jean le Baptiste d’Huaro et la chapelle Canincunca d’Urcos.
Le site abrite des murs d’enceinte, des terrasses et un système de canaux d’irrigation intacts.
La partie haute de l’ensemble est traversée par le Chemin de l’Inca longé d’un canal d’irrigation.
Il a été probablement utilisé comme laboratoire agricole grâce aux divers microclimats générés par ses terrasses.
En plus d’être un complexe archéologique important, c’est aussi l’une des plus grandes œuvres d’ingénierie hydraulique par son jeu de terrasses et la distribution incroyable des canaux d’irrigation de plein air.
Un ingénieur américain a publié un livre sur ces structures hydrauliques dont le titre est Merveille du Génie civil», c’est tout dire !!
Raqchi est un site inca situé à une altitude de 3 500 m environ, à 90 km au sud de Cusco. Le volcan Quinsachata domine le paysage. Il est entouré d’une muraille en pierre de lave de plus de 3,5 km avec deux entrées pour le Chemin de l’Inca qui va au Machu Picchu.
Il semble que c’était un centre administratif, militaire, politique et religieux qui contrôlait l’accès à Cusco en provenance des hauts plateaux.
Sur le site se trouve un lac artificiel au fond recouvert de pierres, dont l’usage n’est pas connu, ainsi qu’un ensemble de fontaines appelées le bain de l’Inca. Le réseau d’alimentation de ces fontaines est très bien fait, mais personne n’a encore réussi à savoir d’où vient l’eau de ces sources qui ne tarissent jamais.
Le village autour du site a depuis l’époque inca été un centre de fabrication de céramiques
C’était un centre très important composé d’un bâtiment principal dédié au dieu créateur Wiracocha, d’habitations rigoureusement alignées et réservées aux prêtres et d’entrepôts. Situé à la frontière de deux grandes régions, il semble que le site servait aussi de douane et de centre de stockage de denrées alimentaires.
Bien que la plupart des constructions (temple de Wiracocha, Qolqas, Places Royales et Habitations de Chasqui Wasi) soit de la période Inca (1450/1532), l’occupation de Raqchi est d’une date bien plus ancienne. Les recherches de l’Institut National de la Culture de Cusco ont permis de trouver des céramiques du style Qaluyu-Marcavalle (200 av. J.-C), des pots sans décoration du style Pucara (200/700 apr. J.-C), des pots de céramique du style Wari (700/1100) ainsi que des céramiques Collao et Inca–Collao (1100/1450).
Les Espagnols trouvèrent à leur arrivée une statue, probablement du dieu Wiracocha, qu’ils emmenèrent à Cuzco. Il n’est conservé que sa tête, dans un musée de Madrid, et son tronc dans un musée de Cuzco.
Visite de la ville
La Ville de Cuzco est située à 3 400 m d’altitude, dans une vallée alluviale fertile arrosée par plusieurs rivières, au cœur des Andes péruviennes.
Sous le grand Inca Pachacutec (d’abord nommé Tito Cusi Yupanqui), au XVe siècle, la ville a été redessinée et transformée après une longue occupation pré-inca de plus de 3 000 ans. Elle est ensuite devenue la capitale de l’Empire inca (Tahuantinsuyu), qui couvrait une grande partie des Andes d’Amérique du Sud entre le XVe et le XVIe siècle.
La cité impériale des Incas s’est développée pour devenir un centre urbain complexe avec des fonctions administratives et religieuses distinctes parfaitement définies, réparties et organisées. Elle était entourée de zones clairement délimitées pour la production agricole, artisanale et industrielle.
Les édifices religieux et publics étaient entourés des résidences réservées aux familles royales, ensemble urbain symbolique sans précédent.
Les techniques de construction en pierre possédaient des qualités esthétiques et structurelles exceptionnelles, comme en témoignent encore le Temple du Soleil ou Coricancha, l’Acllahuasi, le Sunturcancha, le Cusicancha et une série de bâtiments extrêmement élaborés qui font de cet enclos inca l’unité indivisible de l’urbanisme inca.
La cité réservée à la noblesse était clairement isolée de zones précisément délimitées pour la production agricole, artisanale et industrielle, ainsi que des quartiers voisins. Les plans et monuments préhispaniques de la cité impériale des Incas sont encore visibles aujourd’hui.
Lors de la conquête espagnole au XVIe siècle, la structure urbaine de la ville impériale de Cuzco a été préservée et des églises, des monastères et de belles demeures ont été édifiés au-dessus de la cité inca. Ces bâtiments étaient pour la plupart de style baroque avec des adaptations locales, ce qui a créé une configuration mixte unique et de grande qualité représentant la juxtaposition initiale et la fusion de différentes périodes et cultures, ainsi que la continuité historique de la ville.
Le syncrétisme remarquable de cette ville est évident, non seulement dans sa structure matérielle, mais aussi dans l’expression artistique de la vice-royauté. La ville est devenue l’un des plus importants centres de création et de production d’art religieux du continent.
Elle est également importante pour les coutumes et les traditions de sa population, qui préserve en grande partie ses origines ancestrales.
De son passé complexe, tissé de grands événements et de belles légendes, la ville a conservé un ensemble monumental remarquable et une grande cohérence ; elle constitue aujourd’hui un prodigieux amalgame de la capitale inca et de la ville coloniale. De la première, elle préserve d’imposants vestiges et en particulier son plan : murs de granit ou d’andésite méticuleusement appareillés, rues rectilignes filant entre les murs, et ruines du Temple du Soleil. De la ville coloniale, subsistent les maisons basses fraîchement blanchies à la chaux, le palais et les merveilleuses églises baroques où se réalise l’impossible fusion des styles plateresque (style architectural de transition entre l’art gothique et la Renaissance, particulièrement développé en Espagne), mudéjar (architecture qui s’est développée dans la péninsule ibérique du XIIe et XVIe siècle et qui résulte de l’application aux édifices chrétiens ou juifs, de techniques et de matériaux musulmans) ou churrigueresque (aspect que prend le baroque en Espagne au XVIIIe siècle et qui se caractérise par une abondance ornementale) avec ceux de la tradition inca.
La ville représente la somme de 3 000 ans de développement culturel autochtone et autonome dans le sud des Andes péruviennes.
C’est en exemple représentatif et exceptionnel de la confluence de deux cultures distinctes – inca et hispanique – qui, au fil des siècles, sont parvenues à un syncrétisme culturel remarquable et ont conçu une structure urbaine et une forme architecturale uniques.
La Ville de Cuzco conserve l’organisation spatiale et la plupart des bâtiments de l’ancienne capitale de l’Empire inca et de la période de la vice-royauté. Le long de ses rues et de ses places, on retrouve ses caractéristiques urbaines et architecturales d’origine.
Malgré le développement de la ville, on reconnaît encore les quartiers de l’ancienne cité impériale, dont les anciennes constructions en pierre et leurs techniques de construction élaborées.
Ces structures définissent et délimitent les rues et les canchas (parcelles d’habitation) sur lesquelles ont été édifiées maisons coloniales et républicaines, monastères et églises qui ont conservé intacts tous leurs éléments architecturaux et les œuvres d’art qu’ils contenaient. Tout l’ensemble des attributs est resté inchangé dans la zone centrale, en conservant son intégrité structurelle, matérielle et urbaine.
L’un des principaux facteurs qui menacent la Ville de Cuzco sont les tremblements de terre. Après le séisme de 1950, beaucoup de bâtiments importants sur le plan culturel se sont détériorés et n’ont pas été réparés faute de financement. L’absence de documents techniques et réglementaires sur la gestion urbaine crée une saturation des services dans le centre-ville, ce qui en altère l’intégrité et en affecte l’usage. Plusieurs bâtiments privés sont détériorés par un usage excessif, le surpeuplement, et le manque d’entretien et de ressources financières qui menace leur intégrité physique.
En outre, le développement touristique récent menace la préservation et la capacité fonctionnelle de certains bâtiments anciens parfois remaniés ou remplacés par de nouveaux bâtiments à vocation touristique ou commerciale, ce qui entraîne le renvoi des anciens habitants à la périphérie.
Du temps des Incas, son nom quechua était « Huacaypata » ce qui signifie lieu des pleurs ou de rencontre. C’était un important centre cérémoniel où l’on célébrait tous les ans l’Inti Raymi ou fête du Soleil. C’est là que Francisco Pizarro a proclamé la prise de Cuzco. À l’arrivée des Espagnols, la place s’est transformée et des arches de pierre, ainsi que les bâtiments qui l’entourent encore aujourd’hui y ont été construits.
L’édification s’est faite en deux étapes, la Chapelle du Triunfo a tout d’abord été érigée sur les fondations de l’ancien Suntur Wasi (maison de Dieu). Quant à la cathédrale elle a été bâtie par la suite, sur le palais de l’Inca Wiracocha. La façade et l’intérieur présentent un style Renaissance et une décoration très riche en sculptures de cèdre et d’aulne. La beauté du chœur et de la chaire domine l’ensemble. Il abrite une importante collection de peintures de l’école de Cuzco et d’objets en argent repoussé.
Appelé T’oqokach ou «creux de sel», il se compose de rues étroites et pentues et de magnifiques maisons de style colonial. Il est connu comme étant le quartier des artistes.
Construit en 1560 pendant l’occupation, il conserve une chaire baroque attribuée à l’artiste autochtone Diego Quispe Tito qui constitue un chef-d’œuvre en matière de travail et de sculpture du bois.
Cette demeure fut Kancha Inca (cour de l’Inca) en 1450, maison du conquistador Alonso Díaz, en 1580 et maison du comte Cabrera, en 1850. Elle a été entièrement restaurée avant d’accueillir le musée d’art précolombien en juin 2003. Elle réunit, dans ses 11 salles, 450 œuvres allant de 1250 av. J.-C. à 1532. Elles ont été choisies parmi quarante-cinq mille objets appartenant à la collection du musée archéologique Larco de Lima.
Il accueille aujourd’hui le musée historique régional qui réunit une collection de toiles de l’école de Cuzco. Né le 12 avril 1539, Inca Garcilaso de la Vega était le fils du capitaine espagnol Garcilaso de la Vega y Vargas et de Chimpu Ocllo, princesse de la région Cuzco. Il a écrit deux ouvrages : « Commentaires royaux des Incas » et « La conquête de la Floride », tous deux dictés par la volonté de transmettre la connaissance de l’histoire de l’Empire inca.
Ancienne demeure, siège actuel du musée inca. Ce musée abrite une importante collection archéologique qui présente des pièces de céramique, d’orfèvrerie, des textiles et des momies.
Le bâtiment est une construction coloniale d’influence mauresque, qui a été construite sur les fondations du palais de l’Inca Roca. Il est aujourd’hui le siège du musée d’art religieux. Dans la rue Hatunrumiyoc, on peut admirer un vieux mur inca qui faisait partie du palais de l’Inca Roca et qui illustre admirablement la maîtrise des anciens dans l’art du polissage et de la disposition de chaque pierre. Cette structure contient la fameuse « pierre à douze angles », célèbre pour le travail et l’assemblage parfait de chacun de ses coins.
Aux alentours
Le complexe comprend 33 sites archéologiques, dont le plus connu est la forteresse de Sacsayhuaman. Il aurait été, en réalité, une construction de nature religieuse, mais en raison de son emplacement et de son style, il était considéré par les Espagnols et les chroniqueurs comme un bâtiment militaire. Les chroniqueurs s’accordent à dire que la construction de Sacsayhuaman a commencé entre la fin du XIVe siècle et le début XVe siècle, sous le règne de l’Inca Pachacùtec et selon les informations dont on dispose elle aurait duré environ 60 ans. Ici aurait été édifié le temple le plus important du Hanan Qosqo ou Cusco de Arriba, dédié à la cosmologie andine et à la vénération d’Illapa (tonnerre), d’Inti (Soleil), de Quilla (Lune), de Chaska (étoiles) et d’autres divinités. Il est de style cyclopéen par la taille de ses pierres, dont certaines pèsent entre 90 et 128 tonnes. Le 24 juin de chaque année, c’est ici que se déroule l’Inti Raymi ou fête du Soleil.
Qenko ou le « labyrinthe » est considéré comme un lieu sacré où prenaient place des cérémonies en l’honneur du Soleil, de la Lune et des étoiles.
Le complexe se compose de nombreuses enceintes, places intérieures, aqueducs, tours de guet et chemins. Il aurait servi de ferme d’élevage ou de lieu de repos et d’hébergement. Selon les dires des chroniqueurs, chaque fois que l’Inca se rendait à Tambomachay, il était accompagné d’une importante délégation qui séjournait à Puka Pukara. Ce lieu était dénommé forteresse en raison de son aspect fortifié.
Il aurait rempli un important rôle religieux lié à l’eau et à la régénération de la terre. Le site s’étend sur une surface approximative d’un demi-hectare et a été construit en pierres calcaires disposées en forme polygonale.
Le circuit varie en fonction du tronçon à parcourir. La route la plus populaire démarre à la hauteur du km 82 de la voie ferrée Cuzco-Machu Picchu (40 km jusqu’à la citadelle du Machu Picchu). L’autre solution, qui prend moins de temps, consiste à emprunter le Camino Sagrado (chemin sacré), qui débute au km 104 de cette même voie ferrée.
Il fait partie du réseau des chemins incas (Qhapaq Ñan). C’est l’un des circuits de trekking les plus importants d’Amérique du Sud. Il permet de découvrir de nombreuses failles et cours d’eau d’origine glaciaire. Parmi les douze sites archéologiques que l’on peut visiter, citons plus particulièrement ceux de Qoriwachayrachina, Patallaqta, Runkuraqay, Sayacmarca, Phuyupatamarca, Intipunku, Intipata et Wiñayhuayna.
Offrant une vue somptueuse sur les paysages désolés de l’altiplano et le lac Umayo, Sillustani est une véritable oasis de paix et de sérénité. Il s’agit en fait d’un site funéraire, constitué de tombes en forme de tour appelées « chullpas ». Ces dernières ont été bâties par le peuple Colla, des Aymaras qui seront conquis par les Incas au XVe siècle. Les diverses chullpas présentent des caractères différents selon l’époque de leur construction.
La foule vous rebute, vous n’avez pas le pied marin, la péninsule est une alternative à la visite du lac : pas ou peu de touristes, points de vues à couper le souffle sur la cordillère bolivienne et sur les îles au rythme tranquille des communautés autochtones.
A 2 heures et demie environ de Puno, les habitants y ont conservé leurs traditions vieilles de centaines d’années, notamment pour le tissage d’où la qualité du tissu local. Sur Taquile, ce sont les hommes qui tricotent, vous pourrez d’ailleurs vous en apercevoir lorsque vous aurez gravi les centaines de marches menant au village. Il n’est pas conseillé de courir car le manque d’oxygène vous calmera bien vite…
Il est aussi possible de dormir chez l’habitant, vous y serez bien accueilli.
C’est une île assez peuplée (4000 habitants), située bien plus loin de Puno (4 heures environ). La principale activité d’Amantani est l’agriculture. Elle est surtout connue pour le maintien de ses valeurs ethniques et culturelles.
On dit que les Uros, peuple de grande force physique qui habitaient sur les îles artificielles en totora* (sorte de roseau), étaient des descendants de la race la plus ancienne d’Amérique. L’île se trouve à environ 15 minutes en bateau de Puno.
Les Uros sont un regroupement de plusieurs petites îles artificielles qui à elles seules, constituent un véritable village flottant. Ces îles, les bâtisses et leurs embarcations entre autres sont aussi fait en totora séchée. Les Uros se sont éteints complètement, dans les années 1950, abandonnant leur terre de roseaux aux autochtones aymaras de Puno. Ces derniers occupent les îles flottantes à des fins touristiques, en y perpétuant les traditions Uros.
* Le totora, plante multi-usage :
C’est une ressource renouvelable et indispensable à la vie des Uros.
Ils en construisent les îles. Le totora, habilement tressé, constitue les toits, les murs et les portes des demeures. Avec ce même matériau ils confectionnent le moyen de transport principal entre les îles et le continent : les radeaux. L’autre usage du totora, très important, est l’utilisation comme bois de chauffage pour la cuisine, une fois séché. Avec l’arrivée du tourisme, on a commencé à réaliser de l’artisanat à base de totora. De plus il est utilisé comme aliment : après avoir retiré l’écorce à la base du jonc, reste une substance blanche, fibreuse, pratiquement sans goût, utilisée comme complément à l’alimentation.
Un arrêt à Toro Muerto vous permettra d’allier culture (ce serait la zone de pétroglyphes la plus vaste du monde), sport (VTT, trek, rafting,..) et gastronomie (dégustation de camarones, sorte de crevettes/écrevisses, directement sortis de la rivière).
Les pétroglyphes de Toro Muerto sont plus de 5.000 énormes pierres gravées représentant des figures géométriques. Dans cette vallée ayant un petit air de la vallée de la Mort, on y trouve aussi, à Querulpa, des empreintes de dinosaures pétrifiés intacts.
On peut y voir le Coropuna (6.425 m) sommet majestueux qui offre un panorama impressionnant de la région. On y accède depuis la lagune de Pallarcocha, après une montée de deux jours. Le Coropuna est le plus haut volcan d’Arequipa et le troisième sommet du Pérou, après le Huascaran et le Yerupaja, ses 4 sommets dépassent les 6,000 m, sa première ascension a été faite par Hiram Bingham en 1911.
La Vallée de Cotahuasi et son canyon sont une forêt inter andine. Lieu d’une grande diversité écologique, on y trouve les chutes de Sipia et les sommets Coropuna et Solimana. C’est un lieu idéal pour pratiquer le rafting, le trekking et du VTT en montagne.
De la Vallée des Volcans, on peut profiter d’un paysage incroyable autour de 80 petits volcans qui donnent l’apparence de surfaces lunaires, les « Gemelos » (Jumeaux) étant les plus importants culminant à 3.587 m.
Elle compte aussi quelques sommets de grande beauté et bien connus des alpinistes : les volcans Ampato (6.288 m) et Sabancaya (5.976 m) et le Hualca Hualca enneigé (6.025 m) sont aucuns des plus importants.
La Vallée de Colca et son canyon possède une grande diversité de flore et de faune. On y trouve des lamas, des alpagas et des condors dans leur habitat naturel. On y compte 16 peuplements de descendants des ethnies Collahuas, Cabanas, héritiers d’une riche tradition culturelle. La Vallée est située sur la plaque tectonique sud-américaine. Chivay est souvent le point de départ des visites de la zone, on y trouve les bains thermaux de la Caleta, et un petit musée ethnologique. Le départ des treks, très appréciés des sportifs, se fait en général de Cabanaconde.
Dans la même zone, il est possible de faire du VTT à Huanca, vallée encaissée et très peu fréquentée des touristes.
La vallée de Colca se trouve à 150 km (+/- 4 h) au nord-ouest d’Arequipa.
A 20 minutes à peine du centre de ville, un parcours de 6km d’une durée de 1h15 à 1h30 dans la vallée du Rio Chili avec des tronçons de classe II et III jusqu’à deux rapides de classe IV qui peuvent être évités par une marche de 200m, ce qui peut être une option intéressante pour des enfants. L’excursion dure, au total, à peu près 3h.
La région d’Arequipa est synonyme de volcans et montagnes, de cieux bleus et de pampas interminables, pour être accrochée aux contreforts occidentaux de la cordillère, point de départ pour une série d’ascensions de divers niveaux de difficulté, toutes marquées d’une rare combinaison de paysages époustouflants et d’accès faciles sans compter sa composante culturelle très forte.
Jour 9 Cuzco :Départ pour une demi-journée consacrée à la découverte du centre historique : visite du Qoricancha (Temple du Soleil), et de la Cathédrale qui compte de nombreux tableaux de l’Ecole Cusquenienne et de nombreux trésors d’orfèvrerie, d’argent et de pierres précieuses.
Balade dans le quartier de San Blas et ses rues typiques. Après-midi libre à Cusco. Nuit à l’hôtel.
Jour 8 Paramis: Journée avec la communauté, et partage de leurs activités. Visite des environs
lever de Soleil (NB : sublimes points de vue pour la méditation), petit déjeuner, pêche artisanale sur barque sur le lac Titicaca, visite de l’école, déjeuner avec les fruits de la pêche, balades guidées possibles (ruines, mirador, …) ou après midi libre, repas suivi d’échanges conviviaux (jeux, chansons, contes…) autour du feu (quand il fait froid). Certaines activités sont à régler directement à la communauté. Pension complète.
Jour 14 Cuzco : Journée libre (déjeuner libre). Un conseil important : ne pas oublier une visite au marché central San Pedro. Ici, l’animation est permanente et l’identité andine bien marquée. On y parle le quechua autant que l’espagnol et les produits offrent une palette d’odeurs et de couleurs des plus variées.
Après environ vingt-cinq minutes de bateau, visite des îles flottantes. Ces dernières ne sont pas naturelles, elles ont été construites par la tribu Uros, dont la principale activité était la pêche. L’ethnie Uros a disparu dans les années 50, ce sont des Aymaras qui les peuplent actuellement
Puis, poursuite de la navigation (deux heures environ) jusqu’à Taquile, île d’un grand intérêt culturel dont les habitants sont restés sans contact avec le monde extérieur durant quatre siècles et ont conservé de ce fait leurs traditions ancestrales. Les hommes tricotent, les femmes tissent, vous découvrirez la signification des différents ports de bonnets.
Visite et déjeuner libre dans un des restaurants typiques de l’île.
Retour sur Puno en milieu d’après-midi, vers les 17h.Transfert à l’hôtel.
Jour 1 Lima:Accueil à l’aéroport de Lima. Transfert et nuit à l’hôtel. Dîner libre
Aucune activité n’est prévue ce premier jour, les participants pouvant arriver à des heures différentes mais selon l’heure d’arrivée et la fatigue, une petite balade peut être proposée
NOTA : Si votre vol arrive avant la date de départ d’un circuit en groupe, nous pouvons nous occuper de vos éventuelles nuits d’hôtel antérieures au départ.
Jour 15 Cuzco – Lima:Le matin, transfert à l’aéroport pour prendre un vol pour Lima dans la matinée.
Connexion avec votre vol international.
Si vous avez une extension Amazonie, départ pour Puerto Maldonado en fin de matinée..